FICHE DE RENSEIGNEMENTS

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INFORMATIONS GÉNÉRALES → NOM :: Miyagi 宮城 .; → PRÉNOM :: Sayuri 小百合 .; → DATE DE NAISSANCE :: 7 Avril 1987 dans la préfecture d'Okinawa .; → ÂGE :: 22 ans.

PHOTO Inconnu

→ SITUATION CIVILE :: Célibataire et fière de l'être ! La Miss voue une haine viscérale envers le "sexe fort" .;
→ SITUATION FINANCIÈRE :: Dans la vie il y a deux type d'artistes : ceux qui réussissent, nagent dans l'argent, bronzent sur les transats de leurs villas odieusement chères, et ceux qui se sont ratés, peinent à joindre les deux bouts puis en viennent à faire un tas de petits boulots alimentaires avant de se décourager pour s'orienter vers une autre voie qui ne paiera pas mieux... Elle s'est raté. Et encore le mot est faible, "vautré lamentablement" serait le terme le plus approprié... .;

→ MATIÈRE ENSEIGNÉE :: Arts Plastiques .;

→ EXPÉRIENCE :: Le CV de Sayuri est à peu près aussi remplit que sa vie sentimentale en ce moment, c'est à dire...vide. La jeune femme officie actuellement dans le cadre d'un CDD de un an, remplaçant la précédente enseignante d'art plastique qui a soudainement démissionnée après avoir rencontrer "l'amour de sa vie". Elle n'est même pas qualifiée pour enseigner d'ailleurs, n'ayant qu'un diplôme d'école d'art en poche qui, même s'il s'agit d'une des meilleures écoles est loin d'être suffisant, cependant si elle n'a certes aucune expérience en tant que professeur, elle se rattrape cependant de par son expérience amoureuse et le "Si je pouvais tous les castrer !" répondu à la question "Que pensez-vous de l'homme idéal ?" avait clairement rassuré les gars du département de RH sur la durabilité du contrat...

→ VOUS ET L'ENSEIGNEMENT :: Archétype de l'enseignante blasée à personnalité extravagante et au franc parlé déconcertant, cette fan de John Lennon imbibée d'idéologie soixante-huitarde n'en a strictement rien à faire de ses élèves fonçant dans le tas sans se soucier de blesser leur amour propre et ayant une méthode bien à elle de régler leur problèmes existentiels. Elle est vulgaire, boit, fume, passe ses nuits dans des night-clubs et lorsqu'elle daigne venir en cours c'est généralement avec une bonne vingtaine de minutes de retard, le teint terne, la démarche peu assurée, une bonne paire de lunettes de soleil rondes sur le nez qui lui valurent le surnom de "Gouguru Witch", un verre d'eau, un bon paquet d'aspirine et des répliques qui lui aurait valu la porte depuis longtemps si il n'avait pas été si dur de trouver des professeurs en cours d'année...
On ne peut pas non plus considérer les raisons qui l’ont poussées à devenir prof comme louable, outre le fait qu’elle soit à la recherche d’argent, elle a en effet pour seul et unique but de former des hommes, des vrais ! Pas de ces fientes molles qu’elle a rencontré jusqu’à présent ! C’est pourquoi elle montrera souvent du favoritisme envers ses élèves féminines quand à la notation, histoire de faire comprendre aux gamins que ce n’est pas parce qu’on a un service trois pièces que tout nous tombe tout cru dans le bec.
Elle s’est donnée pour mission d’enlever le balai dans le cul de ses élèves avec des méthode crue et pas vraiment politiquement correctes, allant jusqu’à parler sexualité avec eux au travers des œuvres, non conforme au programme scolaire établi par le ministère de l’éducation (est-ce utile de le préciser ?), qu’elle présente entre deux gueules de bois. Ainsi l’artiste se révèle assez peu stricte, passant sur les retards et l’attitude, tout ce qu’elle demande c’est le silence complet dans ses cours, ce que les élèves s'appliquent à faire depuis la dernière fois qu'ils l'ont vu s'énerver ; selon elle il suffit de faire parler son œuvre et puis elle a la tête qui bourdonne sinon.

→ VOS QUALITÉS POUR CE POSTE :: Malgré tout cela elle n’en reste pas moins une passionnée d’art et une peintre de talent qui ne doit son anonyma qu'au manque de chance et d'occasion... Etrangement Sayuri, bien qu’avec ses méthodes atypiques, permet à ses élèves d’extérioriser leur états d’âme, le calme qu'elle impose à haque scéance permet aux étudiants de se reposer et de faire le point. Ses techniques d'enseignement sont, en effet, en réalité inspirées des méthodes utilisées dans les térapies. Elle va parler des sujets qui déranges, des sujets qui gênes mais peu à peu son audience va s'habituer et exprimer librement dans leur travaux ses ressentis sans se soucier du point de vu des autres. Elle casse les taboo et met en place une zone ou on a le droit à tout. Sa manière plutôt brutale mais franche de parler semble la rapprocher des éléments perturbateurs qui se confient plus facilement à elle. Confidence qu'elle écoutera toujours mine de rien, même si elle ne prendra pas de pincette pour dire ce qu'elle pense des amourettes foireuse du pauvre petit délinquant incomprit elle a su établir un lien privilégié avec ses élèves qui voient en elle une sorte de grande soeur... à moins que ce ne soit petite ?

→ VOS DÉFAUTS POUR CE POSTE :: On aura beau tourner la situation dans tous les sens, faire abstraction du manque d'expérience de la jeune femme... Il faut bien se rendre à l'évidence : Miyagi Sayuri est loin, très loin d'être une bonne prof. Son attitude est totalement inaproprié et elle ne prend pas tant à coeur que cela son job, même si elle l'aime elle ne se voyait pas prof dans ses rêves de jeunesse et la pillule a du mal à passer. A cela s'ajoute qu'elle n'arrive pas à passer outre ses déception amoureuse et reporte sa haine envers ses exs sur ses élèves masculins, la parités n'étant clairement pas son point fort. Lunatique, égocentrique, peu sérieuse, vulgaire... C'est sans doute la pire prof que l'on puisse avoir.

→ AUTRES PRECISIONS :: Professeur remplaçant & Responsable du club d'arts plastiques .;

Un grésillement sonore se fait entendre alors que le désagréable son d'un micro mal réglé siffle. Exclamations d'indignation, excuses murmurées du bout de la langue, au loin un automobiliste couvert par le klaxon grave de sa voiture, un oiseau qui prend son envole, une demande plus ou moins polie suivie de bruit de pas et, enfin, une fenêtre qui se ferme, puis rien... Le silence. Juste l'étrange bourdon significatif laissé sur la bande son de l'enregistrement.

— PSY ;❞Séance n°47... Bonjour Sayuri, comment allez-vous aujourd'hui ?❞
— SAYURI ;❞Génial ! Comme toujours ! Je vis sur un nuage ! Les roses sont rouges et les violettes sont bleues... Quoi de plus magnifique n'est-ce pas ? Héhé ~❞
— PSY ;❞Vous avez encore prit des substances illicites avant de venir ici ? Dois-je vous rappeler que cela nuit fortement à mes pronostiques ?❞
— SAYURI ;❞ Tu sais que t’es carrément malsain mec ? Un psy normal se serait inquiété pour les effets nocifs qu’a la consommation de shit sur son patient. Pas pour son putain de pronostique !❞
— PSY ;❞Votre langage est toujours aussi châtié à ce que je puis observer… Mais je vais prendre le fait exceptionnel de votre capacité à aligner plus de deux mots cohérents au sein de notre entretient comme la réponse à ma question… Non. ❞
— SAYURI ;❞ « Langage châtié » ? Décoince toi sérieux, pour un gay t’es vraiment vieux jeu… ❞
— PSY ;❞Sauf que… Vous êtes celle qui a décrété que j’étais homosexuel, vous êtes ici à cause votre peur chronique des personnes du sexe opposé, je ne fais que rentrer dans votre jeu afin de vous mettre en confiance. ❞
— SAYURI ;❞ Tu es mon meilleur ami, tu es FORCÉMENT gay ! ❞
— PSY ;❞ . . . Je vais faire comme si je n’avais rien entendu. Et donc... Vous avez hâte d’être à demain ? ❞
— SAYURI ;❞ Demain c’est Samedi ? ❞
— PSY ;❞ Non… C’est la rentrée scolaire… ❞
— SAYURI ;❞ . . . J’en ai plein le cul. ❞

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Les pneus usés de la vieille Deux-Chevaux jaune canari crissèrent soudainement sur le bitume à peine réchauffé par le soleil printanier, attirant à elle les regards – tout du moins ceux qui l’étaient pas déjà par la couleur et la marque plus qu’original sur les routes japonaises, si elle n’avait pas été dans un état aussi lamentable, elle serait aisément passé pour une voiture de collection -, tandis qu’une tête blonde platine surmontée d’une paire de deux grosses lunettes de soleil rondes, mangeant la moitié supérieure d’un visage qui paraissait pourtant assez harmonieux, sortait de l’encadrement de la fenêtre abaissée, il avait beau ne pas faire très chaud pour un mi d’avril conduire sans clim’ dans un espace aussi restreint, surtout avec un tel mal de crâne, c’était humainement parlant impossible ! La mystérieuse conductrice, car s’en était une à la vue de sa longue tignasse, commença à incendier copieusement le malheureux élève qui « n’avait que ça à faire de ramener son sale cul de mâle en rut, sur ce putain de passage piéton alors qu’elle arrivait »… La pauvre victime ne pouvait que regarder impuissant cette folle furieuse qui, assurément, ne manquait pas de vocabulaire, utilisant des insultes dont il ignorait jusqu’à présent l’existence même. Autours d’eux déjà les gens se rassemblaient, interpelés par les menaces proférées par le jeune femme et l’air ahuri du pauvre gars qui, non seulement avait bien faillit se faire écraser à l’instant, mais en plus n’avait absolument rien demandé et devait déjà se dire qu’il aurait mieux fait de rester couché, quitte à sécher le premier jour de cours… Cependant les sarcasmes se turent alors qu’une ombre d’une certaine largeur venait d’obstruer la vue de l’agresseur.

— SURVEILLANT ;❞ Mademoiselle, vous êtes devant un établissement scolaire, je vous prierais de bien vouloir garder une certaine retenue. Ce n’est qu’un enfant, laissez le donc passer, faites preuve de maturité. Je ne vous retiens pas, vous pouvez continuer à vous rendre à votre destination. ❞

Le ton était poli mais l’ordre clair, aussi la jeune femme enclencha le contacte avec un reniflement dédaigneux, sans pour autant mot dire et commença à avancer… Pour se garer quelques mètres plus loin seulement. Elle sortit comme si rien de tout cela n’était arrivé, marchant d’un pas léger vers le portail ouvert. Tous les témoins présents purent voir la pomme d’Adam de l’employé du Hikari Gakuen remonter et descendre dangereusement alors qu’il venait se placer devant la conductrice.

— SURVEILLANT ;❞ Mademoiselle, pourrais-je savoir où vous comptiez vous rendre ainsi ? L’accès de cet établissement est strictement réservé aux élèves ainsi qu’aux membres du corps professoral.❞

Encore une fois elle ne répondit que d’un reniflement dédaigneux, commençant à fouiller dans son sac. L’homme se rapprocha, ses nerfs arrivant à saturation ; de cette proximité il constata deux choses : de une, il en avait vu des sacs de femmes, mais jamais d’aussi désordonnés, c’était un véritable capharnaüm là dedans, de deux, l’inconnue était entourée d’une légère odeur de cannabis mêlée à son parfum senteur pêche. Si le mélange était, étrangement, harmonieux, cela ne toucha en aucun cas le pion qui réagit au quart de tour.

— SURVEILLANT ;❞ Vous êtes droguée ! Allez donc vous dégriser à l’hôpital avant que je ne demande au commissariat de le faire ! ❞

Pour toute réaction elle lui tendit la bouteille d’eau et la boite de cachets d’aspirine qu’elle venait de débusquer avec un sourire dédaigneux alors qu’elle replongeait dans le méandre de sa bourse… Un silence religieux se fit autours d’eux, les passants et les élèves toujours présents, n’osant plus bouger, sentant la tempête arriver. Mais, excédé, l’homme fut le premier à briser ce calme relatif, attrapant l’autre par l’épaule. Si quelqu’un était passé à cet instant même il aurait pu sentir le ciel se déchirer. Il suffit d’un quart de seconde pour que le coup parte et de deux pour qu’il soit à terre les mains sur ce qu’il avait de plus fragile, le visage crispé d’une douleur sourde, et muette, ses lèvres restant hermétiquement fermées alors que ses joues se gonflaient. C’est alors qu’un bout de plastique rectangulaire entra dans son champ de vision et qu’il s’étouffa soudainement avec sa salive, ses yeux voyageant entre la carte marquée du seau officiel de l‘école et son possesseur… Dessus on pouvait y lire les inscriptions suivantes :

Miyagi Sayuri ; Professeur d’art plastique.

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Pour un peu, elle aurait tué quelqu’un ! Bon elle avait faillit le faire ce matin en rentrant dans cet idiot de piéton pas foutu de regarder avant de traverser, mais sérieusement entre ce surveillant à la con et les collègues qu’elle venait de rencontrer, c’était un miracle qu’aucun d’entre eux ne soit à l’hôpital… Enfin la journée n’était pas finie. Malheureusement. Elle ponctua ses pensées d’un soupir dépité alors qu’elle plantait hargneusement ses baguettes dans son hareng fumé, les tournant et retournant, le brisant intégralement.

Miyagi Sayuri, vingt-deux ans, diplômée d’une des plus grandes écoles d’art du Japon, ayant même bénéficié d’une année d’échange avec l’école des Beaux Arts de Paris, promise à un bel avenir était à présent une pauvre fille paumée - passant sa vie à boire pour oublier qu’un pauvre type s’était barré après lui avoir prit sa virginité, ses œuvres et son nom d’artiste -, ayant pour seul et unique ami son psy, était à présent prof d’art plastique dans un lycée dont elle ne connaissait pas l’existence il y a un peu moins d’un mois. Gé-ni-al !

Pour couronner le tout cette journée avait été un véritable fiasco, entre son arrivée en grande pompe qui avait visiblement vite rependue des rumeurs sur une nouvelle prof totalement tarée et bonne pour l’asile, le pion des troisièmes années qui lui tournait lourdement autours – à tout les sens du termes, le pauvre homme n’ayant ni le physique ni la subtilité – et la nourriture infâme de la cafétéria, elle s’estimait plutôt heureuse de ne pas encore avoir eu de cours… Car elle avait récupéré son emploi du temps, constatant ainsi qu’elle avait, contrairement à ce à quoi elle s’attendait, un nombre incalculable d’heures de cours. De tous les lycées de Tokyo il avait fallu qu’elle tombe sur celui qui valorisait l’art autant que le reste et dont les profs de matières optionnelles étaient plus que renommés, entre la musique, l’histoire de l’art, la sculpture, etc…. (il y avait même des cours sur le cinéma occidental !) Elle qui pensait n’avoir que les quelques ronds de flans « passionnés », se retrouvait avec TOUS les passionnés de Hikari Gakuen et ils étaient nombreux ! Qui plus est, comme un malheur n’arrive jamais seul, celle qu’elle remplaçait étant la précédente responsable du club d’art plastique et aucun de ses collaborateurs n’étant disposés à prendre sa suite (tu m’étonne si ils ont tous une semaine aussi remplie que la sienne !), elle en avait hérité aussi ! Résultat : même si sa matière était optionnelle, ses cours s’étendaient sur toute la semaine et, en plus, elle devait se coltiner un groupe plein de gosses emplis des mêmes rêves qu’elle à leur âge, sauf que elle, on les lui avait brisés ses rêves ! Comment était-elle sensée enseigner dans de bonnes conditions ?! Elle n’était pas un modèle de sainteté mais elle n’avait pas tellement envie de se revoir dans ces enfants, ni son elle du passé, ni son elle du présent… Qu’est-ce qu’elle foutait là bon sang ?

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La porte s’ouvrit dans un fracas sonore et Sayuri siffla douloureusement alors que le bruit résonnait dans sa boite crânienne. Elle avait le cœur qui battait la chamade et les mains moites, il était quatorze heure trente passée - de bien vingt bonnes minutes – ce qui signifiait que, non seulement elle allait donner son tout premier cours, mais surtout : qu’elle était en retard. Contre toute attente pourtant les élèves avaient l’air d’être tous présents.

— SAYURI ;❞ Y a pas à dire l’éducation japonaise se fait belle et bien à couteau tendue ! ❞

La phrase était sortie toute seule, pour elle qui avait vu l’Europe, la discipline asiatique paraissait presque irréelle… Elle rejoignit son bureau sous les regards emplis d’appréhension des troisièmes années, des murmures surpris et choqués emplissant la pièce tandis que cette étrange chose non identifiée à lunette balançait littéralement son sac sur la table professorale, s’asseyant, ou plutôt s’avachissant, sur le siège, attendant visiblement quelque chose. Comme soudain prise d’une réalisation la déléguée se leva et entreprit la cérémonie du salut habituel.

— SAYURI ;❞ Okay…. Heu… Miyagi Sayuri. Vous pouvez l’écrire comme ça vous chante je m’en fous comme de ma première couche ! Maintenant vous vous taisez et vous faites comme d’habitude.❞

Son audience ne bougea pas d’un millimètre, ayant visiblement du mal à intégrer l’information.

— SAYURI ;❞ Quoi ? Vous n’allez pas me dire que vous avez rien à faire ? Hey ! Les mecs n’ont même pas un ou deux magazines pornos à lire ?! ❞

Les yeux s’exorbitèrent presque à ses dernières paroles. C’est alors que la jeune femme réalisa quelque chose : ils étaient pures. Des pages blanches et celle qui écrivait dessus c’était elle. Un léger sourire s’imprima sur ses lèvres… Elle pouvait en faire ce qu’elle voulait, y comprit des gens bien, des gens qui ne soient pas comme elle ou l’autre salaud.

— SAYURI ;❞ Je vois… Bien on recommence ! Je m’appelle Miyagi Sayuri, si vous souhaitez me donner un surnom c’est ok, sauf les mecs, eux ils peuvent crever ! Je serais votre professeur d’art plastique à compter d’aujourd’hui, je ne vous demande qu’une chose : le silence totale, surtout à cette heure là, c’est toujours maintenant que la gueule de bois est la plus forte. Ensuite vous allez me mettre ces tables en carré, votre répartition est loin d’être bonne ! Un fois que ce sera fait, chacun de vous aura les deux heures restantes pour me représenter sa vision de l’art, interdiction d’écrire, sauf si cela entre dans votre composition, vous pouvez utiliser le matériel que vous souhaité, hormis l’oral, je ne veux entendre aucun son, celui que n’émettre ne serait-ce qu’un murmure devra faire trois tour de terrain à poil ce soir et sera filmé pour le cours d’anatomie ! ❞

Les élèves, qui s'étaient éxécuté dès les premiers ordres, urent un moment d'arrêt à l'évocation de la punition alors qu'une seule et même pensée emplie de désespoir sonnait en eux... Qu’est-ce qu’ils foutaient là bon sang ?

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C’est ainsi que Miyagi Sayuri débuta son année en tant que professeur d’art plastique au lycée Hikari Gakuen, depuis ce jour là on raconte que, la nuit venue, d’étranges fantômes exhibitionnistes courent autours du terrain.

→ PSEUDO :: MrDomichi / Domichi .;
→ ÂGE :: 19 ans .;
→ VOTRE PERSONNAGE EST :: Totallement inventé ! .;
→ CÉLÉBRITÉ UTILISÉE :: Lee Chae Rin 이채린 (CL) - 2NE1 .;
→ COMMENT AVEZ VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? :: Un jour Dieu dit "Qu'internet soit"... Et internet fut .;
→ CODE DU RÈGLEMENT :: Validé par Kei
→ UN PETIT MOT ? :: Êtes-vous un alien ? //mercijesaisoùestlasortie// .;